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Parmi le vaste univers horloger, chacun se fait une vision différente des modèles et des pièces qui le jalonnent. Cependant, il existe des constantes, et certaines pièces sont rapidement associées à une image, à un porteur. Quand on voit à une Casio G-Shock, on la compare plus rapidement à un jeune skateur qui rentre des pop shove-it sur des spots Place de la République à Paris qu’à un trader de contrat sur le marché à terme londonien LIFFE. Il en va de même pour une Reverso, plutôt associée à un père/une mère de famille habitant de la Paroisse à Versailles qui a bien réussi son existence et qui se fait le bonheur de la trentaine. En somme d’un côté une montre sportive, et de l’autre une montre classique que l’on associe avec les quelques images culturelles que l’on a en mémoire, c’est rapide et ça marche toujours. Quel dommage cependant de poursuivre à croire qu’une montre ou une autre se cantonne à un style. Le monde de l’horlogerie est un très grand nombre de ces préjugés ( qui sont issus souvent d’une part de vérité, certes ) qui se déconstruisent aujourd’hui pour laisser place à plus de créativité et d’audace. On trouve aujourd’hui de nombreux contre-exemples et le véritable intérêt est de passer outre ces codes. Et de ne même pas y songer.
Quand nous parlons des montres, nous évoquons souvent des histoires personnelles ou les particularités techniques qui les rendent intéressantes aux yeux de certains acheteurs. Mais dans l’ombre, la marque fait une prestation encore plus titanesque que ce que pouvez imaginer. Dans la fabrication industirelle des montres haut de gamme, l’image de la marque est nécessaire. Elle joue un rôle majeur dans la perception qu’auront les gens des différentes marques. Idéalement, elle correspond au type de clientèle que la société souhaite attirer. Dans cet article, nous nous intéressons à l’image renvoyée par certains des plus grands noms du secteur. La culture : l’image que Rolex s’est formée avec soin comporte plusieurs domaines comme fitness, le cinéma, la musique et l’art en général. En plus des nombreuses célébrités à la représenter, Rolex sponsorise plusieurs salles et événements qui incarnent les valeurs de la marque. Si vous souhaitez mettre un premier pied dans l’univers des montres de collection, Rolex est un excellent début. Ce que posséder une Omega dit de vous : vous favorisez que votre montre soit de qualité excellente plutôt qu’elle attire tous les regards. Vous admirez les montres aux histoires fascinantes.
Il est cocasse qu’une des plus géniales trouvailles de Breguet et, qui peut le contester, une des plus bénéfiques – rien moins que la montre-bracelet -, soit passée totalement inaperçue à l’époque. Et cependant, papiers à l’appui, on sait de manière certaine que, sur une commande de la Reine de Naples du 8 juin 1810, Abraham-Louis Breguet a conçu essentiellement pour cet usage et réalisé dans ses ateliers la première montre-bracelet connue au monde, la montre Breguet N° 2639. Avec ses 34 pendules et montres achetées entre 1808 et 1814, l’ambitieuse et très belle Reine de Naples s’étale sur la première place au podium des meilleurs clients de Breguet. Allons à Paris où sont précieusement conservées les archives historiques de la maison Breguet, au cœur de la Place Vendôme. Ouvrons d’abord le livre des commandes spéciales ( on disait alors les « commissions » ) qui rassemble les demandes spécifiques des utilisateurs n’ayant pas trouvé leur coup de coeur avec les pièces disponibles présentées par Breguet. Ce livre passionnant est plein de toutes marques de complications ou de idées qu’Abraham-Louis Breguet acceptait de créer pour ses clients, souvent des protagonistes hors norme et célèbres.
L’Industrie de la montre représente un précieux révélateur du facteur humain dans le développement industriel : c’est bien dans la main-d’œuvre que réside, pour l’essentiel, la valeur d’une montre. L’ascension et le déclin de toutes entreprises d’horlogerie ne peuvent s’expliquer par les seuls facteurs matériels qui participent très à le succès en sidérurgie, par exemple. L’explication courante qui accorde la popularité industriel américain à l’étendue du marché intérieur notamment, et, à l’inverse, l’échec d’industries analogues dans des pays aux dimensions plus modestes se révèle, dans le cas de l’industrie horlogère, un peu courte. Cette industrie, effectivement, se prête à l’exportation et aucun millieu de conception, à l’exception sans doute des États-Unis, n’a pu atteindre ses objectifs sans exporter une grande partie de sa création. Ainsi le principal pays producteur – la Suisse – de l’époque moderne n’a jamais disposé d’un véritable marché intérieur.
Jusque là il existaient des horloges depuis plusieurs siècles et ces horloges fonctionnaient avec comme source d’énergie, des POIDS et comme système régulateur, le FOLIOT, simple barre horizontale placée sur l’axe d’échappement qui pivotait à sa partie inférieure, mais était suspendu à la supérieure. Ces deux éléments, poids et foliot suspendu, entraînaient une exigence, celle de maintenir l’horloge dans une etat verticale et c’est là que se trouve la différence, car la montre fonctionne dans toute les positions, mais il fallait d’ailleurs pour y parvenir modifier les 2 éléments cités. Ce sont ces 2 modifications qui ont caractérisées la montre à ses débuts. L’énergie des poids fut remplacée par un ressort enroulé logé dans une « boîte » le barillet, qui se vit, par obligation, associé à la fusée afin de transmettre une énergie des plus constante possible, ce qui était le cas des poids. Barillet et fusée étaient reliés par une cordelette en boyau et ensuite par une chaînette ( je place ci-dessous ce couple barillet/fusée source d’énergie des montres ).
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