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Depuis toujours, l’Homme a été amené à perfectionner son industrie et sa façon de créer au fil de sa chronologie. Dès la mythologie déjà, Prométhée vola le feu de la connaissance sous les yeux des dieux, sur le mont Olympe, afin de l’offrir aux hommes. Prométhée apprit à comment attiser ce feu, devenu alors un signe de lumière et d’intelligence. Ce point de démarrage marque les prémices de la civilisation humaine où la progression technique amena l’Homme à parfaire progressivement son industrie.
Au 19e siècle, l’union européenne et les États-Unis connaissent de grandes transformations économiques et sociales. Stimulés par les avancées techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, de la même manière que voit le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui composent circuler plus vite d’air et les toutes nouvelles. La croissance extraordinaire des villes fait de cet âge industriel une époque . La première révolution industrielle est généralement proposée comme l’effet technique accompli à la fin du 18e s. et au début du 19e s.. Ainsi manifestation et l’amélioration de l’outil à vapeur professionnelle en 1769, inventée par l’anglais James Watt permet d’actionner d’autres machines et change de façon radicale les outils de production. Cette période marque l’apparition de la mécanisation qui érigera l’industrie en fondements de la structure économe de la compagnie, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur professionnelle permet d’ajouter à disposition une énergie nouvelle pour donner une impulsion aux réseaux ferroviaires et aux échanges financiers.
La numérique veut dire tout d’abord d’utiliser au sein de nos propres sites de production les meilleures pratiques du marché. Par exemple, le transfert sans interruption des données de l’ingénierie et ensuite vers l’industrialisation et pour finir vers la fabrication. Cela permet d’éviter, parmi d’autres choses, des coûteuses et longues phases de réinjection de données. Cette transformation permet aussi de réduire le time to market* de notre clientèle, à qui nous présentons des solutions d’automatismes et des logiciels. C’est une demande forte du marché et nous devons y répondre. pour finir, dans la façon de faire fonctionner nos usines, la numérique doit nous donner plus de adaptabilité de fabrication, une plus grande capacité à parler des produits de plus en plus variés, avec une économie de matières et d’énergie.
Cette descente aux enfers va prendre fin début 1994. En moins d’une année, la moitié du chemin perdu est reprise, et à la belle saison 95, le niveau de la création n’est plus qu’à 6% seulement de son dernier pic. Mais l’élan va vite être brisé après les dévaluations en série du Royaume-Uni, de l’Italie, de l’Espagne qui vont entraîner une perte de compétitivité brutale et laminer des pans entiers de l’industrie française, notamment dans les biens de consommation : le textile-habillement, le cuir, la chaussure, l’électroménager. de plus, le saut de vis budgétaire du gouvernement Juppé, avec notamment la majoration de 2 points de la tva, va casser la consommation des ménages. Une politique de rigueur qui s’inscrit dans la perspective de la mise en place de l’euro.
Car en vue de de concevoir le désastre industriel français, il convient de revenir sur les erreurs stratégiques des pouvoirs publics français et de nos grands patrons, eux-mêmes issus du moule techno-politique les grands corps. Nous devons à Serge Tchuruk dans les années 90, le boss de ce qui était alors Alcatel ( depuis démantelé en de nombreuses entités ), d’avoir théorisé chez nous le concept d’industrie sans centres industriels, sans présents, «asset-light» : une hérésie stratégique vite abandonnée par les Américains mais qui a perduré en France jusque dans les années . Or notre monde économique moderne, loin d’avoir vu la disparition de la vieille industrie au profit d’une économie purement tertiaire et de prestation, est beaucoup plus complexe. En réalité nos économies sont devenues hypra industrielles, avec le software ou les services à valeur ajoutée qui sont venus transformer l’usine d’antan. Les smart factories embarquent des compétences en informatique, robotique et automatisation en brouillant la frontière avec l’univers de et des GAFA. Ainsi, d’une certaine manière, l’industrie n’existe peut-être plus comme quartier autonome mais paradoxalement elle est omniprésente : même les négociateurs des nouvelles nouveautés doivent déployer des plateformes industrielles et logistiques colossales, que ce soit Amazon ou Google avec ses data centers.
Technologies web et mobile : depuis les années 2000, les applications digitale n’arrêtent pas de se diffuser et de se démultiplier. Plus récemment, ce sont les applications android ( téléphones de nouvelles générations et tablettes tactiles ) qui montent en puissance. Ces avancées technologiques sont de véritables outils de la gestion des compétences. Elles assouplissent les négoces entre les partenaires internes et extérieurs et allègent ces derniers des tâches lourdes et à faible valeur ajoutée, notamment dans le secteur tertiaire. Les dernières tendances sont à l’interconnexion des systèmes, jusqu’ici trop cloisonnés. Les nouveautés digitale et mobiles facilitent le diffusion de données et révèlent des traitements plus rapides, agiles et judicieux. C’est évidemment sans compter les progressions en User Experience et User Interface qui facilitent l’utilisation de ces applications.
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